A bon entendeur...
Tu défends ton blog, et cela me parait bien.
Tu m'as supprimé de tes liens, et cela n'est rien.
Tu me pardonnes ce que j'écris, et cela m'interpelle.
Tu te venges sur mes commentateurs, et cela est mesquin.
Oui, ton blog est une horreur, et les lecteurs consanguins qui m'écrivent, partagent mon avis.
Ceci dit, cela ne veut pas dire que je te renie le droit d'exister et d'exposer des chattes et autres toisons collantées à longueur de pages où des analphabètes qui n'ont de goût que le mauvais, viennent cracher leur foutre sur leur clavier.
Je te reconnais ce courage, de défendre ce qui me parait être indéfendable et tu as la qualité rare d'assumer tes choix en toute circonstance.
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Je ne voudrais pas que ton commentaire passe inaperçu.
Tu as injurié mes commentateurs, et à travers tes insultes, je ne peux faire autrement que de me sentir visée.
Tes aboiements de roquet hargneux témoignent de ta médiocrité intellectuelle dont le reflet s'expose jour après jour sur les pages de ton blog de manière grossière.
Tu fais parti de mes crève-coeurs, et maintenant je m'adresse à mes coups de coeur :
Le Chat, montre-lui que tu es "si à moi",
D'Artagnan, gifle-le de ton gant,
Pablo, écorche-le de tes mots,
Jeff, divorce d'avec Roxy !